(Goya, exactamente)
Le principe du sacrifice est la destruction, mais bien qu’il aille parfois jusqu’à détruire entièrement (comme dans l’holocauste), la destruction que le sacrifice veut opérer n’est pas l’anéantissement. C’est la chose – seulement la chose – que le sacrifice veut détruire dans la victime. Le sacrifice détruit les liens de subordination réels d’un objet, il arrache la victime au monde de l’utilité et la rend à celui du caprice inintelligible.
Quand l’animal offert entre dans le cercle où le prêtre l’immolera, il passe du monde de choses – fermées à l’homme et qui ne lui sont rien, qu’il connaît du dehors – au monde qui lui est immanent, intime (…).
(Bataille, Théorie de la Religion, Gallimard, 1973, pp. 58-59)
Torquemada não diria melhor.
Eh pá, quem é este gajo?
(Carlos?)
Bouphonos significa imolador de bois, uma vez por ano o sacrificador subalterno, ou antes, o algoz sagrado, deitava a fugir, como que cheio de horror, para recordar aos homens que, em tempos mais curtos e mais felizes, apenas se apresentavam aos deuses flores e frutos, e que a barbaridade de imolar animais inocentes e úteis só se introduziu quando houve padres que quiseram engordar com este sangue e viver à custa dos povos.
Os italianos e os espanhóis já têm há muito esta palavra. Significava, mimus, scurra, joculator.